SAMEDI
Tout le monde était à l heure ou presque pour le départ vers notre destination du traditionnel stage d’oxygénation de fin d’année.
Un stage “Hagakurien” dans toute sa splendeur.
Une nouvelle fois nos amis de l’ETKDA se sont joints à nous pour cette aventure d’un week end.
Une petite escale à Gap pour se désaltérer avant d’attaquer le col et d’arriver au centre d’oxygénation du plateau Bayard.
Petit moment idéal pour attaquer les festivités et déguster les pains au chocolat du Papounet, resté à Marseille.

08h45, Distribution des chambres et le rendez vous est donné pour la rituelle séance de ski de fond.

Départ 09h30 retour 12h15, on n’est pas des sprinters mais on a fait neuf kilomètres et pas que de la descente quand nous rentrons déjà bien entamés à l’heure du repas.

Annonce joviale : Reprise des festivités à 14h30 et déjà les premiers grincements de dents…
14h30, Petit footing dans la neige, installation sur le terrain de foot enneigé, exercices de fractionnés, travail de blocage, quelques coups de pied histoire d’affuter un peu les cotes
et Hoshinn sool sont au programme de cet entrainement extérieur sous quelques flocons de neige avant le footing de retour,
direction la salle d’entrainement. Il est 16h30.


Une heure quinze de travail sur cibles pour réchauffer quelque peu les organismes et à 17h45 tout le monde s’allonge pour profiter de
trois quart d’heure de relaxation pour détendre les organismes qui commencent à fatiguer.
Certains mettront même à profit ces 45 petites minutes pour sombrer dans un profond sommeil récupérateur.
L’heure du repas est fixée à 19h15. Les ogres sont tous là, et à l’heure.

Faim, peur des représailles ou attente de l’annonce d’un éventuel entrainement de nuit, je n’en sais rien mais tout le monde est là.
Suite à d’innombrables questions, regards interrogateurs et de multiples sollicitations, je suis obligé d’annoncer qu’il y aura bien un entrainement à 22h.
Au grand désespoir de notre ami Marcel qui projette de me tuer, de me jeter dans les escaliers et de me faire disparaitre avant le lendemain,
ce qui a pour effet de provoquer un fou rire à toute notre table.
Hahahahaha , sacré Marcel, sans toi ces stages ne seraient plus pareils…
22h. C’est parti pour 15 rounds de boxe avant de se donner rendez vous pour une petite coupe de champagne vers 23h30 et d’aller se coucher pour une nuit réparatrice.

DIMANCHE, petit déjeuner à 08h,ne voulant pas détruire les mythes,
la décence m’empêchera de mettre en ligne les quelques photos des premières têtes du matin.
Mais j’ai des dossiers…

Rendez vous à 09h15 pour chausser les raquettes et nous voila partis pour une “promenade” de deux heures trente, entrecoupée d’une séance de poomsés enneigés.

12h30 : Repas et repos jusqu’à 14h30.
14h30 c’est l heure du dernier regroupement. Redoutée, attendue, aimée, l’ultime séance est de loin celle préférée par tous.
25 rounds acharnés de deux minutes au programme, suivis d’une épreuve de tir à la corde en deux équipes. Difficiles de raconter la joie de l’équipe qui remporta cette épreuve.
On a vu là, 21 guerriers qui malgré les 15h d’effort du week end ont tout fait pour remporter la victoire sur le score serré de 3/2.
Petite remise de récompenses pour clôturer notre stage et rendez vous dans la salle de repas pour déguster un bon chocolat chaud et une gaufre avant le départ.

Une mention spéciale à nos 5 petits, Mattéo G, Mathéo V, Florent, Kelyan et Lorenzo, souvent dans le rouge mais toujours présents malgré la fatigue, les petites blessures et autres…
Ils ont réussi à repousser leur limites, certainement beaucoup plus loin que certains plus âgés.
Pour finir, je clôturerai comme à chaque fois par une petite citation et un simple mot, un mot dont certains ont oublié le sens!!! Merci.
L’homme n’est pas achevé lorsqu’il est vaincu, il est achevé quand il abandonne
Merci à vous tous sans quoi rien de tout cela ne serait possible.
EN VRAC

Marina et Melissa ou L’art de l’équilibre …
…dans le plus pur style familiale….
Image subliminale d’un Big Mac sous la neige.
Marcello, Ma che bello…
Coralie, la persévérance
Pour le bonheur des yeux…

Laura, le sourire éternel…
Laurent L
Il y avait quand même de beaux specimens…















